En ciblant les cellules immunitaires, les cellules tumorales, ou les deux à la fois, notre technologie est particulièrement adaptée aux applications en immuno-oncologie.

À titre d’exemple, notre preuve de concept la plus avancée, développée en collaboration avec le CNRS, l’Institut Gustave Roussy et le Centre Georges-François Leclerc (CHU Dijon), a démontré un gain significatif d’efficacité de l’immunisation grâce au ciblage des cellules dendritiques conventionnelles de type 1 (cDC1) et à la délivrance d’antigènes tumoraux.
Par rapport aux approches conventionnelles, cette stratégie ciblée vise à activer de manière robuste et spécifique le système immunitaire contre les cellules tumorales, permettant ainsi leur destruction sélective.

Une plateforme d’immunisation efficace revêt une importance particulière pour le développement de vaccins thérapeutiques contre le cancer, dont l’objectif est d’éliminer les cellules cancéreuses résiduelles et de réduire le risque de rechute.
Dans de nombreuses indications oncologiques, ces cellules résiduelles sont faiblement vascularisées, ce qui limite l’efficacité des immunothérapies et des chimiothérapies actuelles administrées par voie intraveineuse. Il en résulte fréquemment une rechute de la maladie, conduisant à de nouvelles lignes de chimiothérapie, puis, à terme, au décès du patient.